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Union Civique des Contribuables
Citoyens de Franche-Comté

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Stop au matraquage fiscal

 


29 juillet 2013, Jour de Libération fiscale : les contribuables disent STOP au matraquage fiscal !

fiscalite

Cette année, les Français auront travaillé 209 jours en moyenne pour financer les dépenses de l’Etat, de la Sécurité sociale et des collectivités territoriales : du 1er janvier au 29 juillet, tout ce qu’ils auront gagné aura servi à alimenter la dépense publique !

Le 29 juillet, les contribuables fêtent donc le jour de leur Libération fiscale : enfin, ils commencent à travailler pour eux-mêmes, ils peuvent désormais faire ce qu’ils veulent de l’argent qu’ils gagneront jusqu’à la fin de l’année.

Fêter ce jour symbolique est un moyen de protester contre la dépense publique. En France aujourd’hui, malgré la crise et le chômage, malgré la dette démesurée, les pouvoirs publics continuent de dépenser à pleines mains ! Jusqu’à quand les élus vont-ils mener la grande vie, embaucher de nouveaux fonctionnaires à tour de bras, multiplier les projets inutiles et les investissements démagogiques aux frais des Français ?

Un exemple de dépense extravagante qui n'a pour objet que de satisfaire l’ego sur-dimensionné d'un maire et de courtiser l'électeur : le TRAM de Besançon. Initialement le projet de TCSP avec un trolleybus  était estimé entre 80 et 100 millions d'euros. Le tram coûtera plus de 300 millions d'euros pour un service similaire !!!

Les contribuables disent STOP à la hausse continue des impôts et taxes et demandent aux pouvoirs publics de montrer l’exemple : pour redresser les comptes publics, ils doivent commencer par eux-mêmes et baisser les dépenses publiques le plus vite possible !

Dans la commune de Nancray où j'habite, le montant des impôts locaux est passé de 121€ par habitant en 2000 à 217€ en 2012. A ce matraquage il faut ajouter l'augmentation de diverses taxes qui sont, elles, passées de 42 à 76€ par habitant. ( source compte des communes du service du trésor) soit une hausse de 80 % à laquelle il faut ajouter une dette de 1421 €/ha.

Un présent difficile, un avenir inquiétant.

Serge GRASS, Président


 

 

 

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